Le 13 novembre 2021 à la commanderie de Dole,le spectacle de danse contemporaine "AKZAK l’impatience d’une jeunesse reliée" était présenté. J’ai eu le plaisir d’y assister avec ma classe.

         Cette création datant de 2020, nous la devons aux chorégraphes Héla Fattoumi et Eric Lamoureux.  Douze danseurs originaires du Burkina Faso, du Maroc, de la Tunisie et de la France nous ont surpris et ébahis durant une heure trente. Bien qu’assis à l’arrière dans les gradins, nous avions une bonne vue du spectacle.

          Nous avons découvert une grande scène rectangulaire recouverte de sable et n’ayant pas de décor. Les  jeux de lumière ont permis de mettre en valeur les mouvements, les gestes, les flexions et les saut des danseurs. Ces derniers étant vêtus de pantalons ou de shorts colorés, le spectacle était donc lumineux et rythmé.

          Nous avons eu la chance d’entendre des chants, de voir des chorégraphie différentes sans oublier la collaboration avec le percussionniste Xavier Desambre Navane jouant en live des rythmes inspirés du Brésil et d’Afrique qui apportent une vitalité et une puissance collective . Nous sentions que le groupe était toujours lié par la même l'envie d’exprimer sa folie .Ils se déplaçaient la plupart du temps en glissant car le sable recouvrait le sol de la scène. Ils traçaient des formes géométriques sur le sable. Ainsi, danseurs et percussionniste forment un tout.  

Ce spectacle m’a permis de découvrir,d’observer et de comprendre que des artistes font passer des messages de partage et de tolérance à travers des mouvement souples et leur unité de groupe ; ils se touchent, se frôlent, vibrent, sautent, s’élèvent dans les airs, heureux de danser ensemble et de faire partager ces mouvements.

Ecrit par Gabriel Thurel, Evan Jacquier, Romane Lambert et Adrian Rolea 5°1

Les classes de 5^e1 et 5^e2 sont allées voir, à la Commanderie à Dole le spectacle AKZAK, le mardi 9 novembre à 20h30. AKZAK est un mot turc qui signifie des rythmes irréguliers, ce qui fait penser à une personne qui boite.

             Sur la scène, de petits bouts de graviers étaient étalés, ce qui permettait aux danseurs de créer des formes, des lignes, des courbes… Les danseurs sont rentrés progressivement sur scène. Les lumières étaient variées, soit la lumière était seulement sur une personne, soit sur tout le groupe. C’était assez étonnant car le son venait seulement des pieds ou des percussions, de temps en temps il y avait des paroles prononcées, des prénoms. Xavier, le percussionniste avait une batterie et faisait du bruit avec des objets très étonnants comme des sacs plastiques. La musique était très rythmée. Douze danseurs étaient présents, leurs vêtements étaient tout à fait normaux.

            Le type de danse qu’ils interprètent est très libre et occupe quasiment tout l’espace de la scène. Beaucoup d’énergie était présente et aussi parfois un certain relâchement. Certaines formes circulaires étaient réalisées avec leurs pieds et d’ autres rectangulaires avec des lumières. Beaucoup de mouvements avec leur corps, des bonds, des glissements et quelques courses. Leurs corps étaient très expressifs. Ils étaient en groupe mais aussi seuls ou par deux, quand ils étaient deux ou seuls, les autres marquaient le rythme ou restaient immobiles. Une grande concentration était présente.

 Écrit par MICHAUD Camille, avec les textes de DUMONT Léa, HONG Noémie et BONIN Maël, classe de 5e2